24/05/10

La Chartreuse de Parme

La politique dans une oeuvre littéraire, c’est un coup de pistolet au milieu d’un concert, quelque chose de grossier et auquel pourtant il n’est pas possible de refuser son attention.

Nous allons parler de fort vilaines choses, et que, pour plus d’une raison, nous voudrions taire; mais nous sommes forces d’en venir à des évènements qui sont de notre domaine, puisqu’ils ont pour théâtre le coeur des personnages.

(...) De tout ceci, on peut tirer cette morale, que l'homme qui approche la cour compromet son bonheur, s'il est heureux, et dans tous les cas, fait dépendre son avenir des intrigues d'une femme de chambre.

Stendhal, La Chartreuse de Parme

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